Une recontre dans les pays glacé

Je sentis l'énergie d'Aryn Two dans ce batiment, était-t-il le pilote du robots de tout à l'heure, rien que de sentir sa présence, un souffle de vie me revint, j'ouvris un oeil. Je vis des chirurgiens en train d'essayer de faire quelque chose, mais je trouvais qu'une chose était bizzare, plusieurs avaient l'aire énervé, je regardais un peu autours, et je me rendis compte qu'il n'avait plus d'énergie. Mais je sentais quelque chose de trés rares dans le corps du robots, une énergie trés puissante et inépuisable, le crystal de lumière. Je resta allongé tout en étant réveillé, certain chirurgiens m'enlevaient les balles avec des pinces, d'autre essayait de casser les écailles pour recoudre la peau en dessous. mais les écailles étaient trop solide et ils n'arrivaient à rien...

Je referma mon oeil doucement, et je me rendormis, je n'allais pas mourrir aussi bêtement. J'ai encore beaucoup trop de chose à faire avant de mourrir.

Le docteur Kile fessait de son mieux pour enlever les écaille de Aryn et quand il réussisa il trouvait que cette écaille était très intéressante et la mettait dans une boite, tout le monde travaillait fort et quand le docteur Kile voya que Aryn Two arrivait il disa.

Non désoler Messieurs mais vous avez pas le droit de aller ici pendant une opération retourner de ou vous venez messieurs.

En n'apercevant plus de combats, j'avais imaginé que le danger était partit. Hors, il était encore la, mais ailleurs, tout près, et c'était le danger de perdre un puissant allié, un dragon qui avait trahi les siens pour ses ennemis, ce qui serait un perte terrible pour les humains. Du moins dans l'esprit de Sarah, ça tournait dans ce sens, et apprenant que le dragon en question était dans un état critique, je le planta la pour courir a la suite de Aryn Two, qui déjà se précipitait vers le bloc opératoire mais se trouvant refoulé par le scientifique.
Sauf que moi je n'avais pas envie de rester la a me languir en imaginant un dragon allié entre la vie et la mort sous les mains de scientifiques même pas fichus de répondre a la radio quand il y a un souci urgent. D'ailleurs je leur relançais ça.

Non mais attendez non seulement vous n'êtes pas foutus de répondre aux urgences alors que c'est vous qui les tenez, et en plus vous nous empêchez de voir notre camarade de guerre? lançais-je d'un ton sec. Vous vous moquez de nous la.

J'avais peut-être parlé d'une mauvaise manière a un supérieur, ne connaissant pas ce scientifique, je n'avais pas la moindre idée de son grade. Mais peu importe, dégainant mon arme, je la pointais vers le docteur scientifique en la tenant d'une seule main, serrant le poing de l'autre.

Alors soit vous nous laissez entrer la dedans, soit je vous fais sauter la cervelle, et vos collègues pourront s'en servir pour des expériences plutôt que de prendre des cobayes, vous choisissez quoi?

Je vous jure il y a des fois j'ai envie de déserter. Mais pour aller ou? Je n'avais nul endroit ou aller, même si cette base m'était antipathique, je me devais d'y rester. Par respect pour mes camarades de guerres et les amis que j'y ai aussi.

Tous les techniciens se retournèrent en direction d'Aryn two, surpris par cette entrée fracassante tout comme moi. J'hochais les épaules en guise de réponse, puis je me retournais vers lui d'un signe bref,

Il était temps, on va pas mal travailler ensemble maintenant d'après ce que j'ai compris.

Je le vis un peu surpris de ma réaction, comme les autres techniciens d'ailleur. Je les regardais un moment,

Aller, faut se dépêcher de réparer les turbines.

Dès qu'ils se remettèrent au travail je me dirigeais vers Aryn two,

On fera les présentations plus tard, pour le moment il nous reste encore une turbine à remettre en marche. C'est un travaille plutôt long que difficile car en s'écrasant sur le toit, les isolants ont litérallement explosés sous la pression du toit qui s'était effondré et du coup tous les fusibles ont grillés. J'me demande encore comment ce dragon a pu survivre à ce choc : en tout cas il nous faut tout remplacer maintenant et c'est particulièrement long à faire.

Je ne pris pas compte de ce qu'avait pus me dire Zap, mais alors qu'il avançait vers moi, je mettais faufillé entre deux turbines, en tirant un peu le cable, j'escalada l'une d'elle et je me mis à courrir en direction du cable d'alimentation qui sortait de la pièce, j'y arriva plus rapidement que prévus, et sans problème en plus. Une foi devant la prise, je me mis à genou et je débrancha les turbines d'un rapide coup de main, et je brancha la nouvelle prise, les turbines étaient maintenant inutil et l'énergie du robots allait restauré l'énergie de la base.

Vous tuez le dragon a réparé ces choses, vous feriez mieux de vous procurez un crystal de lumière pour alimenter votre base.

J'avais dis ça sans regardé personne, la base recommençait à fonctionné, la coupure de courant était fini, qu'importe ce qui allait m'arriver, le dragon allait surement être sauver, de toute façon, j'imagine qu'il ne s'était pas jeter dans se combat sans connaitre les risques. Et j'imagine qu'il savait qu'il n'allait pas mourrir, sinon ce serait trop bète. Un soldat s'approcha de moi, il me tendis la main.

Bien penser, dit-il, tu entends Jacen, on devrais laissé tomber ses turbines et trouvés des crystaux de lumières.

Je lui saisi la main et me releva, je le remerciai, c'était agréable de sa par d'avoir compris ce que je voulais dire et m'avoir aider. Il était armé d'une étrange arme, il avait une magnifique épée, et un Lance Rocket, il était jeune, même trés jeune, iul devait à peine avoir 16 ans.

Je m'appelle Aryn Two, mais j'ignore mon nom de famille.
Enchanté, moi c'est Antoine Rossu.

Il me lacha la main, et dans un sourire, il tourna les talons et disparus par une porte,je me tourna ensuite vers Jacen sans trop savoir ce qu'il allait dire, j'avais détruis le toit et une turbine.

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Antoine Rossu, mon nom, je suis l'un des derniers soldats qui a voulus un traiter de paix avec les dragons, mais comme par hasard on ne m'a jamais écouté. Les politiciens de nos deux camps, chez les dragons comme chez nous sont complètements stupides, ils ne voient toujours que le coté négatif des choses, si tu leurs proposent ils réponderont toujours la même chose: "cela mettrais les citoyens en danger si jamais ils désaprouvent l'alliance lorsqu'ils sont integrés, de plus nous les préférons comme soldats ou comme esclave plutot que comme allier, ces stupides animaux !". Toujours cette même et inutile version des choses, un être sera toujours plus utile en temps qu'allier, que comme enemis réduis en esclavage. Mais lorsque je vis le lieutenant Aryn commencé à risquer son service pour sauver le dragon, je me dis que pour finir je n'étais pas le seul à vouloir la paix avec les dragons.

Je dormais toujours, me je sentais l'énergie de quelqu'un d'interressant dans le secteur, je ne sais pas si cette énergie provenait de la personne ou de l'arme qu'il avait, mais dans tout les cas, cette énergie une foi controller serait trés utiles pour celui qui la possède.

Le docteur donna un cou point a Sarah et il lui disa a elle.

Je suis votre supérieur donc du calme sinon je donne l'ordre de tout vous faire arrêter car je suis un supérieur a vous tous.

Puis la lumière revenait et le docteur Kile fut très surpris mais il demanda au autre solda de faire partir les trouble fête.

Désoler mais nous avons un dragon a sauver,(tout bas)si on le sauve oui.

Effectivement ce scientifique avait un grade supérieur au mien, il me le fit remarquer vivement d'un coup de poing que j'esquivais, mais je ne fis rien de plus et rangea mon arme, toujours en posant un regard noir sur le docteur Kile. Ce que je pouvais mépriser les scientifiques, et ça semblait réciproque, car il nous fit tous partir, et je n'opposa pas de résistance cette fois. Mais dans ma tête, je me jurais de tous leur faire payer, toutes leurs mauvais actions envers les humains comme les dragons.

Si vous ne le sauvez pas, vous payerez sa vie par la votre. lâchais-je une nouvelle fois.

Des collègues scientifiques de ce docteur parurent mal a l'aise et tournèrent le dos en partant je ne sais ou, probablement voir le dragon blessé en salle d'opération. Quand a moi, ne voulant plus voir cet endroit, je me hâtai de sortir, n'ayant pas la moindre idée de ce qui pouvait bien se passer la bas, aux urgences.

Je me relevais en constatant les effets du résultat comme Kate et les autres. J'étais très surpris du résultat mais ça n'était pas pour autant résolu : la dernière turbine était toujours morte. Au moins l'intervention du cristal nous permettra de remplacer tous les composants de la turbine sans précipitation. Aryn s'en alla avec le garde, sans que je ne réponde à sa phrase car ce cristal me laissa ceptique. Je me tournais alors vers Kate qui me disait,

On se penchera sur ces cristaux plus tard, en attendant il faut terminer de réparer la dernière turbine, le dragon est sauvé maintenant.

J'acquiessais d'un signe de tête puis je me remis au travail. Quelques heures plus tard, les réparations semblaient pratiquement terminées et je me demandais alors ou en était ce docteur avec le dragon. L'énergie du cristal semblait bien tenir mais il faudra bientôt restaurer l'énergie initiale des turbines.

Antoine: Je fonça voir le dragon, j'ignorais où en était ses gignoles mais moi j'allais aider le dragon. Si il y avait bien deux choses que je ne supportais pas, c'était les politiciens, et les chirurgiens. J'ai beau n'être qu'un mercenaire, je suis aussi efficace en soin seul, que cette bande de chirurgiens. J'étais donc arriver jusqu'ici, de toute façon, en temps que mercenaire, je fais ce qu'on veut que je fasse, mais que si l'argent est là. A mon age il y a tellement de bonne chose qu'on ne peut avoir qu'avec de l'argent.

Je fis un clin d'oeil à Aryn Two et j'entra dans la salle d'opération où il y avait le dragon, je fis croire que Jacen m'avait payé pour aider le dragon. Sans demander l'accord des chirurgiens qui réfléchissait au moyen d'enlever ses balles, je pris une pince et j'alla près du dragon, je plongea la pince dans la plaie, et j'en resortis une balle. Je fis de même plusieurs foi, j'avais déjà enlever 8 balle, le dragon était tout cripsé, mais ne bougeait pas.

Bouge pas dragon, dis-je ensuite alors qu'il commençait à ne plus supporter, il t'en reste encore 2 bonnes douzaines.

Je pris ensuite une seringue, j'allais laissé deux secondes les balles et m'occupé de refermer les plaies. Je pris un masque que je posa sur le nez du dragon, il était injecté d'un gaz spécial qui allait l'endormir.

Voilà, maintenant je vais pouvoir continuer.

Je pris du fil et une aiguille, et je commença à recoudre les endroits où j'avais retiré les balles. Une foi fini, je recommença à retiré les balles. Je travaillais bien, et je ne faisais plus attention au chirurgiens, sur les machines, le dragon avait l'aire d'aller mieux.

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Aryn Two: Je surveillais que le docteur ne fasse pas de fausse maneouvre envers Antoine, si il lui faisait la moindre remarque je l'envoyais au tribunal militaire, pour infraction envers la règle des mercenaires, lorsque ceux ci sont payé par leur camps, les membres de ce même camps ne peuvent pas les empécher de faire leur travail. Le chirurgiens allait devir faire avec, et pour le moment il a été plus efficaces que les medecins et le résultat se voyait sur l'écran, le dragon allait de mieux en mieux. Il récupèrait son énergie. Etrangeent je n'arrivais pas à être heureux devoir ça, d'ailleurs je n'ai jamais été heureux, mais je sens en se dragon quelque chose d'étrange, pour ne pas dire qui m'appartient.

Aryn: Lorsque je vis cette home arrivé en salle d'opération, je me sentis de suite mieux, les chirurgiens ne faisait rien alors que lui il m'avait déjà retiré nombre de balle. Je me sentais mieux entre les mains de cette homme, et je m'endormis peu de temps après.

Le Docteur Kile entendu ce que son général lui avait dit dans la radio qu'il avait a une oreille et il disait ce qu'il lui avait dit après qui était.

Bon tu peu le sauver mais le Général du gouvernement demande du dragon en échange, 50 écaile de lui avec un boute de sa corne et de se griffes.

Plusieur solda le regardait et allait voir proche le mercenaire Antoine pour qu'il fasse sa sans plus attendre ce que le docteur Kile avait dit.

J'étais sur les nerfs. Non seulement ce scientifique avait tenté de me frapper, et la vie d'un camarade de guerre reposait entre ses mains. Pour couronner le tout, pour ne pas que les choses s'enveniment, j'étais revenue sur mes pas, mais a présent je ne trouvais rien a faire, et restait la a bruler ma colère et mon aversion contre cette base, que j'aimais de moins en moins a présent.

Pendant un moment je restais seule avec mes pensées, étant allée m'asseoir sur un siège proche, ne sachant pas quoi faire d'autre. Me voyant seule, je pris le rubis que j'avais conservée de ma petite expédition personnelle. C'était étrange, il était encore chaud, comme si la chaleur provenait de l'intérieur lui même, on aurait dit qu'une flamme y brulait en permanence. Mais rien ne permettait de prouver son existence, ni même de savoir qu'est ce qui maintenait cette chaleur.
Mieux encore, lorsque j'éteins les lumières,, le rubis rougeoyant d'une lueur rouge, pas avec la puissance d'une vraie lampe, mais avec suffisamment de force pour éclairer la salle d'une teinte sanglante, irréelle.

De mieux en mieux. lâchai-je, cherchant une utilité a cette énergie.

J'avais quelques idées personnelles a ce sujet, étant bonne mécanicienne et bricoleuse a mes heures, je filais dans mes appartements personnels et dégainai mon arme, commençant un bricolage intense avec mon arme et le rubis, même dangereux lorsque je du insérer le rubis dans mon fusil a pompe même, ce qui le fit surchauffer pendant un moment lorsque je le soudais a l'arme et ses câbles pour l'y fixer définitivement et refermer le haut de l'arme.
Une sorte de petit rayon partit de l'embout de l'arme, signe prouvant que l'arme et le rubis étaient a présent coopérants. Parfait, c'était ce que je voulais.

Maintenant, un test!

Rejetant ma chaise en arrière, je me levais, empoignant mon arme, et filait en salle d'entrainement qui se situait a deux pas. Il n'y avait personne a cette heure, et c'était tant mieux pour moi.
Une cible apparut a plusieurs mètres, et je pointais mon arme vers elle. J'avais fait plus que modifier mon arme, je l'avais transformée, y ajustant un viseur de sniper, et changeant le canon pour un autre, plus grand et épais, et plus résistant. De même, le fusil comportait une seconde détente, un sorte de tir secondaire, qui me permettrait d'utiliser l'arme de son ancienne comme de la nouvelle manière. C'était a présent un fusil de sniper doublé d'un fusil a pompe et...

Boum... murmurais-je en pressant la détente que j'avais crée.

Un bruit aigu, un sifflement se fit entendre dans le fusil le temps d'une seconde, puis il chauffa dans mes mains, les brulant un peu, et un puissant laser rouge partit du canon de l'arme pour fracasser la cible qui vola en éclat dans un fracas épouvantable qui secoua toute la salle.
Le souffle me fit reculer et tomber au sol, de même que mon fusil, qui stoppa net lorsque je lâchais la détente.

Waw!! fis-je en le reprenant. Encore plus grand que je l'imaginais, espèrons que mes supérieurs acceptent un truc pareil. Et puis même, je ne leur demande pas leur avis.

Jugeant ce "test" plus que satisfaisant, je rengaina mon fusil qui n'avait aucunement souffert du tir et sortit de la salle.

L'épuisement se faisait sentir, celà faisait déjà 18h que l'on travaillait en continue pour seul répit, un repas bref. Je me laissais tomber sur le sol, voulant reposer un peu mes yeux tandis que les derniers composant de la turbine s'installaient tranquillement par les autres. Une demi-heure plus tard, j'entendais le bruit caractéristique du moteur des turbinnes se mettre en route rapidement. Je m'écartais comme tous les autres pour éviter de servir de conducteur à l'électrécité pour voir une équipe en combinaison retirer le cristal brillant d'une intensité vert-claire. Tout en regardant le cristal se faire transporté dans une cuve en acier, Kate me dit alors,

Demain matin on va pouvoir consacrer notre temps à étudier ce cristal sans se presser.

Je retournais mon regard vers les turbines fonctionnelles,

On y est pas encore, maintenant je fonce dormir : on a fait notre part du travail, la station va recouvrir d'ici quelques secondes toutes ses fonctionnalités et on ne peut plus faire grand chose pour aider ce dragon... sauf si tu t'y connais en anatomie sur els créatures fantastiques.

Elle se mit à rire discrètement,

On s'emballe pas, moi mon job c'est de bricoler, rien d'autre.

Avec toute l'équipe, nous nous dirigeâmes chacun dans nos chambres. Une fois à l'intérieur je sautais sur mon lit pour attérir complètement sur le dos et dormir aussitôt.